D. Capoianu étudie au Conservatoire de Bucarest (1941 - 1953) avec Victor Gheorghiu (théorie, solfège), Mihail Jora (harmonie), Marţian Negrea (contrepoint), Mihail Andricu (composition), George Enacovici (violon), Theodor Rogalski (orchestration), Tiberiu Alexandru (folklore), Vasile Popovici et Zeno Vancea (histoire de la musique).
Parallèlement à ses études il est violoniste au sein de l'orchestre du Théâtre National (1945 - 1947) puis de l'Ensemble de la Confédération Générale du Travail (Ansamblului Confederaţiei Generale a Muncii) de Bucarest. Il devient réalisateur musical des studios Romfilm (1950 - 1951) et Alexandru Sahia (1951 - 1952), puis à la radiodiffusion nationale où il est aussi régisseur musical (1952 - 1954).
De 1969 à 1973, il dirige la Philharmonie George Enescu de Bucarest. En tant que chef, il présente principalement ses propres œuvres à travers le pays.
D. Capoianu a rédigé de nombreux articles sur l'art et a recherché au cours de nombreux voyages, des deux côtés du rideau de fer (Bulgarie, où il se rend cinq fois ; Autriche, URSS, France, États-Unis d'Amérique, Allemagne Fédérale, Belgique, Luxembourg, Tchécoslovaquie, Angleterre, Hongrie, Pologne, Yougoslavie, etc.) des compléments à ses études. Il assure de nombreuses conférences et émissions de radio et télévision.
Capoianu est distingué à de multiples reprises, surtout à l'Est (2e prix du Festival Mondial pour la Jeunesse, 1957 ; Prix d'État roumain, 1962 ; Ordre du Mérite Culturel, Ve classe, 1968, et IIIe classe, 1973 ; Prix de l'Union des Compositeurs (1970, 1974, 1977, 1980, 1981, 1983) ; Prix de l'Académie Roumaine (1977). Le Festival de Cannes l'honore de la Palme d'Or en 1957, pour la musique du dessin animé Scurtă istorie de Ion Popescu-Gopo.
Ouvrages lyriques, musiques de scènes, spectacles
[le catalogue sera complété ultérieurement].
Sources
Parallèlement à ses études il est violoniste au sein de l'orchestre du Théâtre National (1945 - 1947) puis de l'Ensemble de la Confédération Générale du Travail (Ansamblului Confederaţiei Generale a Muncii) de Bucarest. Il devient réalisateur musical des studios Romfilm (1950 - 1951) et Alexandru Sahia (1951 - 1952), puis à la radiodiffusion nationale où il est aussi régisseur musical (1952 - 1954).
De 1969 à 1973, il dirige la Philharmonie George Enescu de Bucarest. En tant que chef, il présente principalement ses propres œuvres à travers le pays.
D. Capoianu a rédigé de nombreux articles sur l'art et a recherché au cours de nombreux voyages, des deux côtés du rideau de fer (Bulgarie, où il se rend cinq fois ; Autriche, URSS, France, États-Unis d'Amérique, Allemagne Fédérale, Belgique, Luxembourg, Tchécoslovaquie, Angleterre, Hongrie, Pologne, Yougoslavie, etc.) des compléments à ses études. Il assure de nombreuses conférences et émissions de radio et télévision.
Capoianu est distingué à de multiples reprises, surtout à l'Est (2e prix du Festival Mondial pour la Jeunesse, 1957 ; Prix d'État roumain, 1962 ; Ordre du Mérite Culturel, Ve classe, 1968, et IIIe classe, 1973 ; Prix de l'Union des Compositeurs (1970, 1974, 1977, 1980, 1981, 1983) ; Prix de l'Académie Roumaine (1977). Le Festival de Cannes l'honore de la Palme d'Or en 1957, pour la musique du dessin animé Scurtă istorie de Ion Popescu-Gopo.
Ouvrages lyriques, musiques de scènes, spectacles
- Gâlcevile din Chiogga, musique de scène d'après Goldoni (1951)
- Ursuleţii veseli de M. Polivanova (1959)
- Broadway-Melodie (1960)
- Cosmos '60, ballet (1960)
- Doctorul au-au, musique de scène d'après Vadim Korestiliov (1961)
- Ruy-Blas, musique de scène d'après Victor Hugo (1963)
- Eu şi materia moartă, spectacle de variétés (1964)
- Aulularia, musique de scène d'après Platon (1965)
- Biedermann şi incendiatorii (Monsieur Bonhomme et les incendiaires), musique de scène d'après Max Frisch (1966)
- Drumul oteţului, ballet sur un argument original (1965)
- Oameni în frac, ballet sur un livret de Oleg Danovschi (1969)
- Curtea Domnească, spectacle de son et lumière (1969)
- Regina de Navarra, musique de scène d'après Alexandre Dumas (1970)
- Cabaretissimo, spectacle de variétés (1971)
- Vlad Ţepeş, musique de scène d'après Remus Nasta et Mihai Vasiliu (1972)
- Richard al III-ea, musique de scène d'après William Shakespeare (1979)
- Dragostea prinţesei, musical en deux actes sur un livret propre d'après une pièce de Sacha Lichy (1982)
- Cenusereasa, musical en deux actes pour une pièce de Ion Lucian et Virgil Puicea d'après Charles Perrault (1984)
- Pistruiatul, musical en deux actes sur un livret de Francisc Munteanu (1987)
- Cinci cântece din Ardeal pour chœur de femmes, hautbois solo et ensemble de cordes (1961)
- Ca să faci portretul unei pasari, cantate pour chœur d'enfants, piano, flûte et percussions, sur un poème de Jacques Prévert (Pour faire le portrait d'un oiseau) , traduction de Gelu Naum (1969)
- S-a spart o conductă de vise în cer, poème pour choeur mixte et percussions, vers de Valeriu Bucuroiu (1979)
- Pământul, cantate pour chœur mixte, récitant et orchestre, paroles de Mihu Dragomir (1979)
- Echinocţiu, oratorio pour chœur mixte, récitant, orgue et orchestre, sur des paroles de Eugen Jebeleanu (1984)
- Solstiţiu, oratorio pour chœur mixte, récitant, orgue et orchestre, sur des paroles de Eugen Jebeleanu (1984)
- Valses ignobles et pas sentimentales, suite pour mezzo-soprano et orchestre de cordes, sur des paroles de George Topârceanu (1986)
- Suita I pentru orchestră, 1953
- Ouverture Capriccio, 1954
- Suita II pentru orchestră, 1955
- Divertisment pentru orchestră de coarde şi două clarinete [Divertissement pour orchestre de cordes et deux clarinettes], 1955
- Concert pentru vioară şi orchestră [Concerto pour violon], 1957
- Variaţiuni cinematografice, 1965
- Motto perpetuo pour violon ou ensemble de violons et orchestre, 1971
- Un August în flăcări, suite orchestrale, 1974
- Pasărea Phöenix, suite tirée de la musique du film homonyme, 1975
- Chemări'77, poème symphonique, 1977
- Duelul, fantaisie de jazz, 1977
- Muzică de ambianţă, 1980
- Mic concert pentru 2 piane, 6 viori şi orchestră [Petit concerto pour deux pianos, six violons et orchestre], 1980
- Hora horelor, d'après des motifs de la Hora Staccato, 1984
- Faţete, suite symphonique de jazz, 1984
- Concert pentru chitară şi orchestră [Concerto pour cithare et orchestre], 1985
- Cântec fără cuvinte, pour violon, quatuor à cordes et orchestre, 1986
[le catalogue sera complété ultérieurement].
Sources
- Viorel Cosma, Muzicieni din România, vol. 1, Editura muzicală, Bucureşti, 1989 - ISBN 973-42-0015-1
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